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Conférences sur la Médecine
Quantique (Evreux 2013 & 2014)
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La médecine quantique : c'est quoi ?
La médecine quantique est une médecine holistique, qui considère l’organisme comme un tout. Elle applique les découvertes de la physique quantique au vivant, et je me suis dirigée vers ce type de médecine, après avoir observé des faits cliniques. À partir de ma pratique et de l’observation rigoureuse de fait réels, constants à travers le vivant, j’ai recherché un modèle scientifique du vivant me permettant de comprendre les faits que j’observais, j’ai ainsi découvert la médecine quantique.
Je me présente, je suis vétérinaire spécialisée en homéopathie, biologie totale et décodage biologique, au commencement, soit en 1991, date à laquelle je suis sortie de l’école vétérinaire. J’ai pratiqué la médecine et la chirurgie vétérinaires telles que l’on me les avait enseignées au cours de mes études. J’ai pratiqué ainsi pendant environ 20 ans. J’ai ainsi pu observer, que régulièrement, les maux de mes petits patients, étaient ceux-là mêmes que les propriétaires retenaient ; en d’autres termes, l’animal de compagnie exprimait dans sa pathologie, le conflit inconscient du maître. Pendant 20 ans, j’ai minutieusement observé, étudié, afin de voir si une loi s’écrivait, si le phénomène était reproductible, en quelque sorte transcendantal, ou si cela n’était que factuel. J’ai pu constater, que le phénomène se répétait au fil de ma pratique. Tout se passait comme si l’animal familier manifestait dans son corps, dans ses organes et ses tissus, la souffrance non dite de ses propriétaires, à l’évidence une loi s’écrivait .
Je vais présenter maintenant quelques exemples cliniques vécus pour illustrer ce propos : nous citerons le cas de Mousmé (et sa mastoïdite), Nana (et les jumeaux) Élégie (et son uvéite). J’ai ainsi découvert quelques lois de la biologie totale et du décodage biologique ! Le symptôme, c’est de l’inconscient cristallisé. Le symptôme est plus à interroger qu’à supprimer, le symptôme vous parle de votre souffrance inconsciente, il n’est que le sommet de l’iceberg, la guérison passe par la compréhension de ce qu’il tente de signaler. Il vous parle de vos croyances, des comportements compulsifs dans lesquels on s’emprisonne. Nous sommes façonnés par nos croyances bonnes ou mauvaises. L’effet placebo n’est pas autre chose, il est si important que la science a reconnu qu’au moins un tiers de toutes les guérisons n’ont rien à voir avec la méthode mais sont le résultat de l’effet placebo qui n’est que la croyance dans le pouvoir curatif d’un procédé ou d’une substance, en fait la croyance seule permet d’activer les processus naturels d’autoguérison du corps!
Nos pensées sont des champs d’énergie, capables de s’imprimer dans le corps. Nos pensées, nos croyances et nos émotions, façonnent le corps instant après instant : nous devenons ce à quoi nous pensons le plus souvent. L’épigénétique est la science qui étudie l’influence du milieu extérieur sur la lecture des gènes, elle démontre que l’expression génomique dépend des conditions de vie, des croyances et de l’alimentation. L’ÉTUDE DU GÉNOME HUMAIN, révèle environ 25000 gènes, bien moins que ce à quoi on s’attendait, mais on ne dénombre pas moins de 30000 variations pour chaque gène, celles-ci s’exprimant ou pas en fonction des conditions du milieu extérieur.
L’hygiène émotionnelle est tout aussi importante que l’hygiène alimentaire. les émotions fortes, bonnes ou mauvaises, dégradent l’organisme. On mesure 1400 modifications physiologiques, quand le corps passe d’une émotion violente à une autre). Notre régime émotionnel, affecte notre métabolisme et l’expression de nos gènes, les pensées positives régulent notre physiologie, favorise nos capacités d’autoguérison, et de régénération. Hormones et enzymes ne sont pas les vecteurs de la régulation de notre métabolisme et de notre physiologie. Nous sommes constitués, environ de 700 000 milliards de cellules. En l’état actuel de nos connaissances, il apparaît impossible, que les communications intercellulaires et la physiologie de l’ organisme soient assurées par des collisions aléatoires de quelques molécules (hormone ou enzymes) noyées dans un vaste compartiment aqueux, c’est-à-dire le sang et la lymphe. C’est le modèle dont nous disposons à l’heure actuelle, or ce modèle ne permet pas d’expliquer la rapidité avec laquelle l’information est transmise d’une cellule à l’autre ou d’un organe à l’autre.
Par contre, un chercheur Allemand, DR Fritz Popp démontre que chaque cellule vivante émet des bio photons, petites particules de lumière voyageant à travers l’organisme et réalisant un réseau lumineux, réseau qui d’après Popp assurerait les communications intercellulaires et la physiologie de l’organisme !. Entre 1916 et 1956 Harrold Burr , démontre l’existence d’un champ électrique dans et autour des êtres vivants. Ce champ est mesurable, il modèle et contrôle le développement des organismes vivants, il assure le rétablissement de la santé ou la régénération et maintien la santé. S’appuyant sur les travaux de Burr, de Popp, et fort de ce que mettent en évidence de nouvelles disciplines comme l’épigénétique.
Certains chercheurs comme Régis Dutheil (agrégé de médecine, professeur de physique et de biophysique à la faculté de médecine de Poitiers) et Rupert Sheldrake (DR en biologie) posent l’hypothèse des champs électromagnétiques, comme régulateurs de la physiologie des êtres vivants. Sheldrake parle des champs morphogénétiques. R Dutheil, va même jusqu’à envisager l’existence d’un univers fondamental, uniquement constitué d’information sous la forme d’onde électro-magnétique, symétrique du nôtre et dont nous serions la transcription tridimensionnelle. Dans ce modèle, les organismes vivants seraient des objets quantiques. Les recherches réalisées actuellement sur la conscience, à travers le monde entier, semblent confirmer la pertinence de ce modèle, qui permet d’expliquer pourquoi, l’esprit est à ce point prééminent sur les organismes vivants.
Dans ce modèle, le cerveau est en fait une interface, il reçoit de l’information de cet univers fondamental et symétrique du nôtre, l’information est ensuite traduite en une image en trois dimensions. C’est la conclusion à laquelle ont abouti les recherches actuelles réalisées dans le monde entier sur la conscience. À ce sujet, les neurophysiologistes observent qu’un mouvement volontaire normal fait intervenir, en plus de l’influx nerveux, ce qu’ils nomment volonté, reste à savoir ce que c’est que la volonté d’un point de vue strictement neurophysiologique.
Lorsque l’on observe un patineur artistique, sa rapidité d’exécution et la coordination de ses mouvements, force est de constater que le cerveau communique des informations plus rapidement qu’il ne peut le faire réellement d’un point de vu strictement neurophysiologique. Il y a nécessité ici de poser l’hypothèse d’une source d’information supplémentaire qui ne se trouve pas forcément dans le cerveau. Certaines expériences ont été réalisées sur des rats. Ainsi dans le modèle de R Dutheil confirme les découvertes actuelles sur l’influence des pensées et des croyances sur la santé. On recherche actuellement les gènes responsables du cancer dans certaines familles. Or on s’aperçoit que des enfants adoptés dans ces familles vont déclarer le cancer familial, sans pour autant partager les gènes familiaux.
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